ACTE DE FOI
Située sur la colline de Fourvière, à Lyon, l’EHPAD, la maison Thérèse Couderc présente la particularité d’être exclusivement féminine et d’accueillir des laïques au sein d’une communauté de religieuses.
Comment ces religieuses, parfois très âgées, arrivent-elles à concilier les contraintes d’une vie religieuse malgré leur âge ? Comment se passe la cohabitation avec les autres résidentes laïques ? Quel équilibre s’est instauré entre celles qui n’ont connu que la vie religieuse et les autres, pourvues d’un tout autre chemin de vie.
La maison Thérèse Couderc porte le nom de la fondatrice des sœurs de Notre Dame du Cénacle. Elle fut canonisée en 1970 par le pape Paul VI. C’est dans cette maison qu’elle vécut à partir de 1867 et où le souvenir de sa présence est entretenu avec ferveur par les religieuses. Sa cellule y est conservée, intacte, et la chapelle lui est consacrée.
Malgré leur âge, avancée pour certaines, les religieuses ont conservé une grande rigueur dans leurs habitudes de vie et la journée est ponctuée de plusieurs temps de prières, individuels et collectifs.
Elles peuvent toutefois se détendre en participant à quelques animations, telles que la gymnastique douce ou des conférences, des jeux de sociétés, ... proposés par l’animatrice. Les visites et les inévitables rendez-vous médicaux et séances de kinésithérapie viennent troubler la monotonie de ces journées.
La vie des résidentes laïques n’est pas fondamentalement différente de celle qu’elles auraient dans un EHPAD classique, hormis le fait qu’elles se retrouvent dans un milieu exclusivement féminin et où elles peuvent assister librement à la messe, participer aux prières et bénéficier d’un temps d’écoute auprès des religieuses.
L’entente semble plutôt bonne avec les religieuses. Si cette cohabitation se déroule sans heurt, c’est probablement parce que ces laïques sont habitées par une certaine sensibilité religieuse ou d’une profonde tolérance.
























Située sur la colline de Fourvière, à Lyon, l’EHPAD, la maison Thérèse Couderc présente la particularité d’être exclusivement féminine et d’accueillir des laïques au sein d’une communauté de religieuses.
Comment ces religieuses, parfois très âgées, arrivent-elles à concilier les contraintes d’une vie religieuse malgré leur âge ? Comment se passe la cohabitation avec les autres résidentes laïques ? Quel équilibre s’est instauré entre celles qui n’ont connu que la vie religieuse et les autres, pourvues d’un tout autre chemin de vie.
La maison Thérèse Couderc porte le nom de la fondatrice des sœurs de Notre Dame du Cénacle. Elle fut canonisée en 1970 par le pape Paul VI. C’est dans cette maison qu’elle vécut à partir de 1867 et où le souvenir de sa présence est entretenu avec ferveur par les religieuses. Sa cellule y est conservée, intacte, et la chapelle lui est consacrée.
Malgré leur âge, avancée pour certaines, les religieuses ont conservé une grande rigueur dans leurs habitudes de vie et la journée est ponctuée de plusieurs temps de prières, individuels et collectifs.
Elles peuvent toutefois se détendre en participant à quelques animations, telles que la gymnastique douce ou des conférences, des jeux de sociétés, ... proposés par l’animatrice. Les visites et les inévitables rendez-vous médicaux et séances de kinésithérapie viennent troubler la monotonie de ces journées.
La vie des résidentes laïques n’est pas fondamentalement différente de celle qu’elles auraient dans un EHPAD classique, hormis le fait qu’elles se retrouvent dans un milieu exclusivement féminin et où elles peuvent assister librement à la messe, participer aux prières et bénéficier d’un temps d’écoute auprès des religieuses.
L’entente semble plutôt bonne avec les religieuses. Si cette cohabitation se déroule sans heurt, c’est probablement parce que ces laïques sont habitées par une certaine sensibilité religieuse ou d’une profonde tolérance.